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Bouclier de guerrier éthiopien antique avec décorations. Diamètre : 47 cm.
Ce bouclier provient du Ras éthiopien de la fin du 19e siècle.
Cet objet a été collecté à la fin du 19ème siècle et acheté dans ma collection privée en 2001, avec un certificat d'authenticité.
Taxation : 1250 - 1500 euros.
La façade est doublée de velours marron foncé et richement décorée d'éléments en métal ou en argent. Le revers était à l'origine recouvert de cuir ou de cuir et possède encore sa poignée pour le tenir à la main Les conditions sont celles montrées sur les photos et il présente quelques défauts l'objet n'a pas été nettoyé. quelques rivets ont été préalablement ajoutés pour fixer les éléments décoratifs Bouclier ras du guerrier éthiopien avec décorations
Bouclier Ras éthiopien antique en cuir et métal forgés, panneaux en laiton gravés et martelés et un bossage de bouclier cylindrique à son sommet. Les boucliers éthiopiens se présentent sous une variété de motifs et de décorations (perles, bandes d'argent, etc.). Ils sont fabriqués à partir de divers supports parmi lesquels le bois, le métal, la fibre végétale (rotin ou raphia).
L'effet visuel, la fonctionnalité et les objectifs pratiques de la pièce dictaient la forme que devait prendre un bouclier. Un bon bouclier doit offrir un maximum de protection. Le matériau utilisé doit être solide et durable. Presque tous les peuples d’Afrique utilisaient le bouclier. Dans de nombreuses cultures, des boucliers comme celui-ci étaient connus comme une arme défensive, utilisée par les guerriers pendant le combat. Les boucliers étaient également affichés comme emblèmes de statut ou de rang et également comme accessoires de danse lors de festivals ou de cérémonies commémoratives ou après une victoire.
Voir un exemple similaire dans les CHASSEURS ET GUERRIERS du Musée Dapper ; AFRICA: The Art of a Continent, édité par Tom Phillips, (Voir p. 126 dans le volume référencé ci-dessus et aussi, p. 69 dans African Shields de Dieter Plaschke et Manfred A. Zirngibl,) voir aussi Marc Ginzberg. FORMES AFRICAINES, pp. 168, 171