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Lithographie de Théo Tobiasse. Titre : Raisins de Canaan. Depuis le dossier : Diaspora(Spread). Dimensions du plateau : H76 x L54cm. Dimensions : H60 x L46cm. L'œuvre est signée en bas à droite « Théo Tobiasse » et « 59/135 » au crayon, titrée dans la scène. L'authenticité de l'œuvre proposée est entièrement garantie. Un certificat d'authenticité peut être envoyé par email sur demande.
Expédition/collecte :
Une fois achetée, l'œuvre peut être récupérée à 's-Gravenzande (près de La Haye).
(Scheveningen), Rotterdam et Delft et à 5 minutes de la plage). Le terme pour cela
l'encaissement, moyennant paiement d'avance, est très généreux, c'est-à-dire que l'acheteur peut faire faire les travaux pendant des semaines, voire même
récupérez-le des mois plus tard et, si possible, combinez-le avec une visite à l'un des
les villes mentionnées ci-dessus ou la plage. L'œuvre peut également être envoyée via Post.nl. Nos jours d'expédition sont le mardi et le jeudi.
Théo Tobiasse, né Tobias Eidesas (26 avril 1927 – 3 novembre 2012) était un peintre, graveur, illustrateur et sculpteur français.
Ses premières toiles sont exposées au Salon des Peintres du Sud-Est en 1960. Il remporte le "Prix de la Jeune Peinture Méditerranéenne" en 1961 et Armand Drouant lui propose un premier contrat et l'expose à la Galerie du Faubourg Saint-Honoré à Paris en 1962.[3]
Théo Tobiasse remporte également le prix Dorothy-Gould en 1961. Il décide alors de se consacrer exclusivement aux arts visuels. De nombreuses expositions lui sont consacrées partout dans le monde, à Paris à la Galerie Drouant, à Genève, Montréal ou Tokyo, puis à Londres, Zurich, Lauzanne, Los Angeles, Kiev puis une première exposition personnelle à New York (1968). . Artiste autodidacte, il étudie les techniques des grands maîtres dans les musées lors de ses voyages. En particulier, les reliefs, les glacis et les couleurs de La Fiancée juive de Rembrandt au Rijksmuseum d'Amsterdam ouvrent de nouvelles possibilités techniques qu'il explore dans ses peintures, depuis son atelier.
Les sujets figuratifs sans histoire ni symbolisme (chat, oiseau, cerf-volant, vélocipède...) de ses premières toiles lui permettent d'expérimenter les techniques, la couleur et la texture des peintures à l'huile et à la gouache, Le Vélocipède (1959), Le Chat de Vence (1961), L'Oiseau rouge (1964), La Nuit de l'oiseau (1960).
À partir de 1964, Théo Tobiasse développe une iconographie plus personnelle, tirée de ses propres souvenirs de sa jeunesse en Lituanie, des errances d'une famille à la recherche d'un pays d'asile et de la Shoah. Le train, celui qui emmène sa famille de Kaunas à Paris, ou les Juifs dans les camps, devient un motif récurrent et la mémoire un thème important dans son œuvre. C'était dans 42, le train du 16 juillet, huile sur toile, (1965)