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Technique : Lithographie Signé à la main : Signé par l'artiste Année : 1972 Édition : 127/200 Etat : Très bon Dimensions de l'image : 70 x 52,5 cm Dimensions du cadre : 93 x 78 cm. Il s'agit d'un cadre Barth en bois noir, de 2 cm de largeur et 2,5 cm de hauteur. Présente quelques dégâts d'usage, voir photos. Anton Rooskens fréquente une école professionnelle à Venlo de 1924 à 1934, après quoi il fait son apprentissage chez un facteur d'instruments. En 1935, il part vivre à Amsterdam. Artiste autodidacte, il peint principalement des paysages dans lesquels l'influence de Van Gogh est clairement visible. Lors d'une visite à l'exposition « Art et liberté » au Rijksmuseum d'Amsterdam en 1945, Rooskens fut frappé par les sculptures africaines et les gravures ancestrales de Nouvelle-Guinée. Les lignes simples et épurées qui caractérisent cet art se retrouvent dans l'œuvre de Roosken du début de l'après-guerre, en plus des influences cubistes. À partir de 1946, Rooskens entretient des contacts réguliers avec Appel, Corneille et Brands. En 1948, il rencontre Constant. Cette année-là, il cofonde le groupe expérimental néerlandais, qui fusionnera plus tard avec CoBrA. Rooskens a participé à la célèbre exposition CoBrA au Stedelijk Museum d'Amsterdam 1949, mais se retire du mouvement presque immédiatement après. Ses liens avec CoBrA se révèlent pourtant très stimulants. Rooskens développe un langage personnel de signes magiques en noir, jaune, ocre, bleu et rouge pénétrants et crée des compositions dans lesquelles masques, boucliers et images de dieux s'entrelacent dans un enchevêtrement de couleurs et de lignes spontanées qui forment néanmoins un certain équilibre. En 1954, il passe brièvement à un style géométrique influencé par l'art africain. À partir de 1956, son travail est de plus en plus décrit par des signes abstraits dynamiques sur de grandes toiles. Peinture noire, appliquée en traits fermes joue un rôle de premier plan. Vers 1965, des créatures fantastiques, rappelant la période CoBrA, apparaissent dans son œuvre. Ses peintures redeviennent plus lumineuses et le resteront jusqu'à sa mort en 1976.