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En Italie, Francesca a passé un an à Rome de 1977 à 1978, où elle a réalisé de nombreuses séries photographiques qu'elle avait prises dans une usine abandonnée, séries qu'elle a intitulées « D'être un ange » et « L'el ». Sur cette photo, son corps flou allongé sur le sol, courbé autour d'un bassin blanc où s'enroule une anguille, elle crée deux versions de son image avec son corps d'un côté et de l'autre.
Le jeu de lumière et de lignes, le contraste entre les formes et le noir et blanc, traduisent une alternance entre dissimulation et marquage qui invite le spectateur à se rapprocher et à porter un regard plus attentif, presque indiscret. Le format carré donne un caractère intimiste à son image, son corps est comme un caméléon, englouti, se fondant dans l'espace.
Prise de vue dans laquelle son visage est entièrement caché, elle habille sa chair et semble disparaître dans l'au-delà, toujours inquiète de son existence, elle pose toujours dans des décors, des pièces et des sols délabrés, créant ici l'un de ses nouveaux autoportraits extraordinaires.
Elle est comme un caméléon, avalée par les éléments, qui se fondent dans l'espace, absorbée entre ombre et lumière, elle se fragmente constamment et crée une multitude de photographies qui embrassent son corps, elle est toujours loin du repos, son visage sur papier photo, déchirant de vitalité. Le jeu de lumière et de lignes qu'il intègre, le contraste entre les formes et le noir et blanc, traduisent une alternance entre dissimulation et marquage qui invite le spectateur à se rapprocher et à porter un regard plus attentif, presque indiscret, en utilisant le format carré, qui donne un caractère intimiste à ses images.
« Mes photographies dépendent d’un état émotionnel. » Francesca Woodman